Le conseil d’administration du GDS, ainsi que les membres de la commission ovine ont décidé (en plus du programme d’aide à la vaccination FCO) d’élargir l’accompagnement des éleveurs adhérents du GDS à la commercialisation d’ovins en zone non régulée MHE.

Comme le prévoit la réglementation (selon l’arrêté ministériel du 25/10/23 et instruction technique du 24/11/23) la réalisation des analyses MHE avant départ est obligatoire entre la zone régulée et la zone non régulée MHE.

Ainsi, cette aide GDS doit permettre de prendre en charge une partie de l’analyse MHE qui est facturée par les laboratoires lors de mouvements d’ovins issus de la zone régulée du Puy-De-Dôme pour les cheptels naisseurs vers une zone non-régulée.

L’objectif est d’accompagner la commercialisation d’agnelles, de brebis ou de mâles (avec un résultat favorable MHE) à destination de l’élevage.

La biosécurité est l’ensemble des mesures destinées à protéger une population animale, l’homme et l’environnement des agents infectieux transmissibles avec une triple finalité: santé animale, sécurité sanitaire des aliments et santé humaine.

Une grille d’auto-évaluation a été réalisée à partir des travaux du groupe « biosécurité et tuberculose » et des contributions des groupes Biosécurité de GDS France et de la SNGTV. L’objectif de cette grille est d’aider l’éleveur à évaluer son niveau de biosécurité, et de proposer des mesures concrètes adaptées aux points forts et aux points faibles identifiés. Elle aide à prioriser les investissements à prévoir en matière de biosécurité.

L’éleveur peut se faire accompagner par un conseiller ou par un vétérinaire, pour aider au renseignement ou à l’analyse de cette grille. Cet accompagnement technique peut également concerner la mise en place et le suivi des mesures choisies.

 

Eleveurs de bovins

Pour connaître le niveau de votre élevage quant à la Biosécurité suivez les indications et complétez la grille d’auto-évaluation.

Cette grille d’auto-évaluation est également disponible (au format pdf) avec les recommandations associées

 

Eleveurs d'ovins

Pour connaître le niveau de votre élevage quant à la Biosécurité suivez les indications et complétez la grille d’auto-évaluation

Cette grille d’auto-évaluation (au format pdf) est également disponible avec les recommandations associées.

 

Eleveurs de caprins

Pour connaître le niveau de votre élevage quant à la Biosécurité suivez les indications et complétez la grille d’auto-évaluation.

Cette grille d’auto-évaluation est également disponible (au format pdf) avec les recommandations associées.

 

 

Vous trouverez ici le communiqué du Ministère de l'Agriculture concernant les dispositifs d'indemnisation MHE

Vous trouverez ici notre nouveau GDS INFO – Edition 2024 réalisé au niveau de notre Fédération Auvergne – Rhône-Alpes.

Il vous sera envoyé très prochainement.

La zone régulée MHE dans le département du Puy-de-Dôme évolue régulièrement (vous trouverez ici la liste des communes en zone régulée sur notre département).

- Le 10/11/2023 : 239 communes du Puy-de-Dôme entrent dans la zone régulée suite à un foyer en Corrèze.

- Le 17/11/2023: 60 communes du Puy-de-Dôme sont ajoutées dans la zone régulée suite à un nouveau foyer détecté en Corrèze.

- Le 01/12/2023 : 33 communes supplémentaires intègrent la zone régulée suite à un foyer en Haute-Vienne.

- Le 07/12/2023: 33 communes supplémentaires entrent dans la zone régulée suite à la découverte d'un nouveau foyer en Corrèze.

- Le 15/12/2023: pas de nouvelles communes supplémentaires entrant dans la zone régulée (366 communes sont concernées par des mesures de gestion)

 

Afin que vous puissiez suivre la réglementation et toutes les évolutions concernant la MHE, nous vous conseillons de vous connecter régulièrement au lien suivant : https://agriculture.gouv.fr/mhe-la-maladie-hemorragique-epizootique

zone MHE 071223

ZONE MHE 63 071223 vf

Cela a pour conséquence que les mouvements d’animaux (bovins, ovins, caprins, camélidés) issus de cette zone ne sont plus possibles à destination d’un autre Etat membre de l’Union Européenne. Certaines destinations vers les pays tiers font également l’objet de restrictions.

Cependant, des dérogations ont été accordées pour des envois d’animaux à destination de l’Espagne et de l’Italie.

La zone régulée MHE dans le département du Puy-de-Dôme évolue régulièrement (vous trouverez ici la liste des communes en zone régulée sur notre département).

- Le 10/11/2023 : 239 communes du Puy-de-Dôme entrent dans la zone régulée suite à un foyer en Corrèze.

- Le 17/11/2023: 60 communes du Puy-de-Dôme sont ajoutées dans la zone régulée suite à un nouveau foyer détecté en Corrèze.

- Le 01/12/2023 : 33 communes supplémentaires intègrent la zone régulée suite à un foyer en Haute-Vienne.

- Le 07/12/2023: 33 communes supplémentaires entrent dans la zone régulée suite à la découverte d'un nouveau foyer en Corrèze.

 

Afin que vous puissiez suivre la réglementation et toutes les évolutions concernant la MHE, nous vous conseillons de vous connecter régulièrement au lien suivant : https://agriculture.gouv.fr/mhe-la-maladie-hemorragique-epizootique

zone MHE 071223

ZONE MHE 63 071223 vf

Cela a pour conséquence que les mouvements d’animaux (bovins, ovins, caprins, camélidés) issus de cette zone ne sont plus possibles à destination d’un autre Etat membre de l’Union Européenne. Certaines destinations vers les pays tiers font également l’objet de restrictions.

Cependant, des dérogations ont été accordées pour des envois d’animaux à destination de l’Espagne et de l’Italie.

La zone régulée MHE dans le département du Puy-de-Dôme évolue régulièrement (vous trouverez ici la liste des communes en zone régulée sur notre département).

- Le 10/11/2023 : 239 communes du Puy-de-Dôme entrent dans la zone régulée suite à un foyer en Corrèze.

- Le 17/11/2023: 60 communes du Puy-de-Dôme sont ajoutées dans la zone régulée suite à un nouveau foyer détecté en Corrèze.

- Le 01/12/2023 : 33 communes supplémentaires intègrent la zone régulée suite à un foyer en Haute-Vienne.

 

Afin que vous puissiez suivre la réglementation et toutes les évolutions concernant la MHE, nous vous conseillons de vous connecter régulièrement au lien suivant : https://agriculture.gouv.fr/mhe-la-maladie-hemorragique-epizootique

zone MHE 011223

ZONE MHE 63 011223 vf

Cela a pour conséquence que les mouvements d’animaux (bovins, ovins, caprins, camélidés) issus de cette zone ne sont plus possibles à destination d’un autre Etat membre de l’Union Européenne. Certaines destinations vers les pays tiers font également l’objet de restrictions.

Cependant, des dérogations ont été accordées pour des envois d’animaux à destination de l’Espagne et de l’Italie.

La commission « petits ruminants » du GDS 63 s’est réunie le 13/11/2023 suite à la recrudescence de la FCO dans le département du Puy-de-Dôme. La Fédération Départementale Ovine a également alerté le GDS sur l’impact de la FCO en élevage.

Il a ainsi été décidé par le GDS d’accompagner les éleveurs d’ovins à la gestion de la FCO en élevage. Cette aide est possible grâce aux cotisations cumulées des adhérents sur plusieurs années et mises en réserve dans la Caisse d’Entraide Ovine gérée par le GDS. En effet, chaque année vous contribuez par vos cotisations à la constitution d’une caisse « coup dur » (assurantielle) qui permet aujourd’hui au GDS de vous aider dans l’action sanitaire FCO.

Dans le cadre du plan d’action suivant (4 volets), environ 50 000 € (25% de la caisse globale) seront redistribués aux éleveurs demandeurs.

Depuis le 10 novembre 2023, plusieurs communes du Puy-de-Dôme sont intégrées à la zone régulée MHE. Un nouveau foyer de MHE en Corrèze a été mis en évidence sur la semaine du 10 au 16 novembre, impactant la zone régulée du département du Puy-de-Dôme. Ainsi, désormais 299 communes sont concernées. Vous trouverez ici la liste des communes en zone régulée sur notre département.

Sur la semaine du 17 au 23 novembre, de nouveaux foyers ont été découverts en Loire-Atlantique. L'évolution du zonage suite à ces derniers n'impacte pas le Puy-de-Dôme.

Afin que vous puissiez suivre la réglementation et toutes les évolutions concernant la MHE, nous vous conseillons de vous connecter régulièrement au lien suivant : https://agriculture.gouv.fr/mhe-la-maladie-hemorragique-epizootique

zone MHE 231123

ZONE MHE 63 171123 vf

Cela a pour conséquence que les mouvements d’animaux (bovins, ovins, caprins, camélidés) issus de cette zone ne sont plus possibles à destination d’un autre Etat membre de l’Union Européenne. Certaines destinations vers les pays tiers font également l’objet de restrictions.

Cependant, des dérogations ont été accordées pour des envois d’animaux à destination de l’Espagne et de l’Italie.

La situation sanitaire en France évolue chaque semaine, la MHE et la FCO sont soumises à surveillance et peuvent entrainer des restrictions aux mouvements entre Etats Membres.

Afin que vous puissiez suivre la réglementation et toutes les évolutions concernant la MHE, nous vous conseillons de vous connecter régulièrement au lien suivant : https://agriculture.gouv.fr/mhe-la-maladie-hemorragique-epizootique

Vous trouverez ci-dessous, les principaux éléments de repères concernant la MHE et la FCO. Pour toutes informations complémentaires, contacter votre GDS.

La situation sanitaire en France évolue chaque semaine, la MHE et la FCO sont soumises à surveillance et peuvent entrainer des restrictions aux mouvements entre Etats Membres.

Afin que vous puissiez suivre la réglementation et toutes les évolutions concernant la MHE, nous vous conseillons de vous connecter régulièrement au lien suivant : https://agriculture.gouv.fr/mhe-la-maladie-hemorragique-epizootique

Pour toutes informations complémentaires, contacter votre GDS.

Point MHE :

  • En France, en un mois près de 1200 foyers MHE déclarés sur 11 départements : Pyrénées-Atlantiques, Hautes-Pyrénées, Haute-Garonne, Gers, Landes, Ariège, Aude, Tarn, Lot-et-Garonne, Girontde et Tarn-et-Garonne (les premiers foyers ont été déclarés le 20/09/2023, dans les Pyrénées-Atlantiques et les Hautes-Pyrénées.)
  • Les foyers en Suisse ont été infirmés le 24 octobre et les mesures prises côté français ont été immédiatement levées.
  • Autour de chaque foyer mise en place d’une zone réglementée de 150 km. Plus de 25 départements (tout ou partie) sont concernés par des mesures sanitaires de mouvement.

zone MHE 261023

  • Pour les mouvements d’animaux* en provenance des zones réglementées, sont imposés les mesures suivantes :
  1. Désinsectisation des animaux pendant au moins les 14 jours ayant précédé leur départ.
  2. Dépistage PCR négatif, 14 jours après la désinsectisation des animaux (bovins, ovins, caprins) sortant de cette zone.
  3. Le départ de la zone règlementée doit être effectif dans les 7 jours qui suivent le prélèvement sanguin en veillant à ce que l’animal reste protégé (désinsectisation) contre les vecteurs au moins jusqu’à son chargement.

Par conséquent, une attestation de désinsectisation ainsi que le résultat de l’analyse négative doivent accompagner chaque animal sortant de la zone réglementée.

* des conditions dérogataires de sortie de veaux, agneaux et chevreaux âgés de moins de 70 jours de la zone réglementée (ZR) vers un atelier d’engraissement en bâtiment fermé situé en zone indemne (ZI) sont prévus. Ces animaux sont autorisés à sortir d’une exploitation de ZR pour aller vers un établissement d’engraissement (bâtiment fermé) situé en ZI avec les conditions suivantes :

- Les animaux et les moyens de transport sont désinsectisés avant la sortie de zone non indemne de MHE,

- Les animaux peuvent être allotés uniquement dans un centre de rassemblement situé en ZR

- Les animaux sont destinés uniquement à l’abattage sur le territoire national après une période d’engraissement en bâtiments fermés et protégés contre les vecteurs

- Le bâtiment de destination a été désinsectisé avant l’arrivée des animaux.

Les éleveurs et les vétérinaires des départements touchés alertent sur des signes cliniques très impactant pour le troupeau. En cas de symptômes, contacter rapidement votre vétérinaire (une intervention dès les premiers signes est souvent utile pour les animaux).

 

Concernant les exports :

 Espagne : mouvements à nouveau autorisés depuis le 10 octobre dernier aux conditions suivantes :

  • Depuis la zone réglementée en France vers la zone non indemne espagnole :
    • Absence de signes cliniques des animaux chargés dans les moyens de transport
  • Depuis la zone réglementée en France vers la zone indemne espagnoles (Baléares et Canaries) :
    • Désinsectisation des animaux pendant au moins 14 jours
    • Réalisation d’un prélèvement en vue d’une analyse PCR
    • Mouvements possibles en cas de résultat favorable à l’analyse PCR MHE, dans un délai maximal de 14 jours après le prélèvement
    • Désinsectisation des moyens de transport
    • Absence de signes cliniques de MHE.

Italie : mouvements à nouveau autorisés depuis le 18 octobre dernier aux conditions suivantes :

  • Depuis Zone Réglementée française vers Zone Indemne italienne :
    • Désinsectisation des animaux pendant au minimum 14 jours
    • Réalisation d’un prélèvement en vue d’une analyse PCR
    • Mouvements possibles en cas de résultat favorable, dans un délai maximal de 14 jours après le prélèvement
    • Désinsectisation des moyens de transport
    • Absence de signes cliniques de MHE.

Algérie : la situation n’a pas évolué depuis la semaine dernière. Pas de mouvement.

Liban : tout est réouvert et opérationnel, les attestations complémentaires au certificat export ont été validées

Maroc : accord de principe sur les attestations complémentaires. Il est acté de conserver le délai de 7 jours entre PCR et le mouvement.

 

POINT FCO :

  • De nombreux signes cliniques ont été constatés en élevage et après investigations, une nouvelle souche de fièvre catarrhale ovine (FCO) de sérotype 8 a été détectée en France le 04/08/2023.
  • Plus de 30 foyers ont été détectés dans le Puy-de-Dôme (sérotype 8 majoritairement et quelques sérotype 4)
  • Pas de programme d’éradication de la FCO en France cela signifie que les rassemblements ou les mouvements des animaux sont « libres ». Mais des restrictions aux mouvements entre Etats Membres sont en place pour éviter la diffusion de la FCO.

 

FCO, sérotype 3 :

  • Une épizootie de fièvre catarrhale ovine (FCO) de sérotype 3 a débuté aux Pays-Bas autour d’Amsterdam depuis le 06/09/2023 : 1 209 foyers recensés au 13/10/2023.
  • Le 29/09/2023, un foyer FCO - sérotype 3 (BTV-3) a été détecté en Belgique, il se situe à environ 125 km de la frontière française. 
  • Le 10/10/2023, un autre foyer a été détecté en Allemagne.
  • Ce virus de sérotype 3 atteindrait plus particulièrement les ovins avec un taux de mortalité élevé (40%).
  • Un zonage de 150 km autour des foyers FCO-BTV 3 peut être mis en place, les conditions pour l'export peuvent également être discutées (à ce jour, nous n’avons pas d’informations complémentaires de gestion : à suivre…)
  • Contrairement aux sérotypes 4 et 8, il n’existe actuellement pas de vaccin contre le sérotype 3.

Le retour de la Fièvre Catarrhale Ovine (FCO) avec plusieurs cas cliniques (sérotype 8) et l’émergence de la Maladie Hémorragique Epizootique (MHE) en France font que l’actualité sanitaire est importante sur ce dernier mois.  Ces 2 maladies vectorielles ont des signes cliniques très proches (fièvre, amaigrissement, lésions buccales, difficultés respiratoires, boiteries et avortements). Les culicoïdes (moucherons) en sont les principaux vecteurs et ils se multiplient lorsque les conditions climatiques (température, humidité) leurs sont favorables.

A noter que :

-        Le contexte national évolue en ce qui concerne la MHE, l’arrêté du 23 septembre 2023 fixe de nouvelles mesures de surveillance, de prévention et de lutte vis-à-vis de la maladie hémorragique épizootique.

è Mise en place d’une zone réglementée sur l'ensemble des communes situées dans un périmètre de 150 kilomètres autour des foyers

è Les bovins, ovins, caprins ou cervidés des établissements situés dans la zone réglementée ne peuvent sortir de cette zone.

Sauf dérogations (Article 5) pour :

o   Retour d'estive ;

o   Sortie directement vers un abattoir avec abattage dans les 24 heures suivant l'arrivée ;

o   Sortie possible (à partir du 2 octobre 2023 – Article 7) pour d’autres motifs si application d'un traitement de désinsectisation efficace envers les culicoïdes 7 jours au moins avant leur départ de l'établissement

o  l’exportation selon les modalités définies par les pays tiers importateurs.

Vous trouverez l’intégralité du texte de loi ici.

De nouvelles évolutions réglementaires sont en cours de discussion, notamment la mise en place avant mouvement dans la zone réglementée d’une analyse PCR négative MHE. De nombreux laboratoires départementaux sont à ce jour agréés pour la réalisation des analyses en matière de MHE (Terana 63 a reçu son agrément début de semaine).

Pour finir, l’exportation des animaux vers les pays tiers (Algérie, Maroc, Israël, Tunisie) est modifiée.

En ce qui concerne la FCO, le contexte local évolue également, plusieurs cas de FCO clinique, dans le département du Puy-De-Dôme, ont été confirmés par une analyse PCR.

En parallèle, pour ceux qui participent au sommet de l’élevage, l’organisation allège ses conditions d’accès aux animaux (gestion des analyses FCO à l’animal seulement et non aux cheptels) et l’organisation n’a pas ajoutée de mesures complémentaires MHE volontaires. Toutefois, l’organisation a fait un  dernier communiqué ce jour afin d’informer qu’un nouveau décret doit paraitre le 1er octobre et il sera ainsi demandé une analyse PCR négative pour la zone réglementée. Pour plus d’informations, contacter le commissariat aux animaux, à savoir l’EDE 63.

La Maladie Hémorragique Epizootique (MHE ou EHD en anglais ou encore Maladie Hémorragique du Cervidés) a été détectée en France :

Cette maladie est due à un virus, de la même famille que le virus de la FCO. Elle est transmise, comme la FCO, par les culicoïdes (moucherons) et touche tous les ruminants : domestiques (bovins, ovins, caprins) et sauvages (cervidés).

Les signes cliniques (fièvre, amaigrissement, lésions buccales, difficultés respiratoires, boiteries et avortements) sont proches de ceux de la FCO. Ces signes cliniques sont plus fréquents en bovins que chez les petits ruminants..

La MHE est une maladie réglementée en Europe et à déclaration obligatoire.

A ce jour, 3 cas sont recensés en France. De manière préventive, un rayon de 150 km a été délimité autour des foyers et dans ce rayon, les exports des ruminants sont interdits vers l'UE, sauf pour abattage.

 

Le Puy-de-Dôme ne fait pas partie de cette zone (en date du 22/09/23).

 

De nouvelles mesures de gestion peuvent progressivement être décidées et cela dans l’objectif de limiter la propagation de la maladie. Même si, il n’y a pas à ce jour de limitation de mouvements des animaux à l’échelle nationale, le réseau GDS vous recommande vivement de limiter les mouvements de ruminants depuis les zones ayant détecté la présence de la MHE.

 

La désinsectisation des animaux régulières est également un moyen de réduire la présence de culicoïdes sur vos animaux et peut contribuer à ralentir la diffusion de la MHE.

 

Vous trouverez ici le communiqué de presse du Ministère de l'Agriculture

Plusieurs cas cliniques de fièvre catarrhale ovine – sérotype 8 (FCO – 8) sont apparus chez des bovins et des ovins depuis début août 2023 dans le sud du Massif central. Initialement localisée à quelques communes, la maladie s’est propagée en quelques semaines. Face à la résurgence de ce virus et surtout sa virulence, la vaccination permet de protéger son cheptel. Cette vaccination peut être réalisée par l’éleveur dans le cadre de la protection de son troupeau.

Vous trouverez ci-dessous les notes de service transmises par GDS France :

Note d'information FCO du 13/09/2023

Signes cliniques FCO

 

La peste porcine africaine (PPA) est une maladie animale due à un virus qui touche exclusivement les porcs domestiques et les sangliers. Présente dans certains pays d'Europe et notamment en Italie du Nord (Piémont, Ligurie), dans le Latium, la Calabre, en Campanie et en Sardaigne et dans les Antilles, son introduction en France pourrait avoir des conséquences socio-économiques et sanitaires graves pour les filières professionnelles concernées.

 

PPA 08 23

Afin de vous proposer un accompagnement dans la gestion de vos Déchets d’Activités de Soins vétérinaires (DASRI), votre GDS a mis en place une solution collective en partenariat avec la société Gestion Déchet Pro. Cela fait plus de 10 années que nous travaillons ensemble sur l’élimination des déchets dans les exploitations agricoles.

Tout producteur de DASRI est responsable de l’élimination des déchets qu’il produit (article L541-1 à L541-50 du code de l’environnement).

Les DASRI sont soumis à des règles de traçabilité qui permettent d’attester de leur bonne destruction.

Vous êtes adhérents au GDS 63, le Groupement de Défense Sanitaire du Puy de Dôme vous propose de participer à la collecte des DASRI sur vos exploitations pour un meilleur respect de l’environnement.

Afin d’appliquer le règlement en vigueur et dans l’objectif de respecter au mieux l’environnement, il faut collecter les déchets d’activités de soins à risques infectieux (DASRI) au minimum tous les 6 mois.

 

Pour plus d'informations, vous pouvez télécharger la plaquette d'informations et le bulletin d'engagement .

Le formulaire de demande d'aides du Conseil Départemental pour l'année 2023 vous a été adressé dernièrement.

Vous pouvez le télécharger et nous le renvoyer accompagné d'un RIB dès à présent.

NOUVEAUTE:  Le formulaire de demande d'aides couvre la période 2023-2027.

Formulaire à télécharger

Pour télécharger le formulaire, cliquer ici.

Vous trouverez ici notre nouveau GDS INFO – Edition 2023 réalisé au niveau de notre Fédération Auvergne – Rhône-Alpes.

Il vous sera envoyé très prochainement.

Le GDS 63 et le conseil départemental du Puy-de-Dôme (partenaires financiers) ont décidé à partir de février 2023 de financer à 100% l’analyse besnoitiose lors de l’introduction de bovins en élevage. Cela implique un dépistage sérologique, gratuit, systématique lors d’introduction de bovins dans une exploitation. Cette nouvelle action est essentielle pour limiter la diffusion de la maladie dans les élevages. En complémentarité d’une gestion sanitaire préventive, un formulaire spécifique « billet de garantie conventionnelle » est mis à disposition sur simple demande au GDS ou auprès de votre vétérinaire, lors d’achats de bovins en élevage. Celui-ci permet de réaliser des analyses préventives pour éviter l’introduction de maladies (exemple : IBR, BVD, Paratuberculose, Besnoitiose, Néosporose…) et permet également de contractualiser entre acheteurs et vendeurs en cas d’analyse positive. Ce billet de garantie conventionnelle est un outil pour protéger vos cheptels souches.

Dans le cadre de la maîtrise de la BVD, vous pratiquez peut-être la vaccination de votre troupeau reproducteur (génisses, vaches et taureaux) pour limiter la circulation virale, prévenir la naissance de veaux IPI et immuniser les veaux naissants via les anticorps présents dans le colostrum.

Vous trouverez ici un questionnaire à compléter dans le cas où vous avez mis en place un protocole de vaccination sur votre cheptel.

Un virus très contagieux pour les porcs et les sangliers aux conséquences sanitaires et économiques extrêmement graves pour la filière. 

Des cas en Italie, sur des sangliers à moins de 100 km des frontières donc un risque de dissémination en France non négligeable.

L’importance du respect strict des mesures de biosécurité comme seul rempart efficace au virus et l’obligation de déclaration dès le premier porc pour garantir une surveillance complète.

Un premier cas de peste porcine africaine (PPA) chez un sanglier a été détecté le 05/01/2022 sur la commune d’Ovada dans le Piémont et confirmé par PCR le 06/01/2022. Le cas se situe à moins de 100 km de la frontière avec la France (source : Commission européenne ADIS le 07/01/2022). Deux cas ont ensuite été détectés à proximité dans la commune de Fraconalto au Piémont et dans la commune d’Isola del Cantone en Ligurie, dans une région montagneuse où une forte densité de sangliers est signalée.

FPA 180122

ARRETE MINISTERIEL du 5 novembre 2021

La dérogation prévue à l’article 10-III de l’arrêté ministériel IBR du 20 mai 2016 permettait jusqu’au 31/12/2021 de ne pas rendre obligatoire le contrôle sérologique pour les bovins introduits dans un troupeau d’engraissement à l’herbe en ASDA jaunes, sous réserve de faire réaliser par le vétérinaire sanitaire de l’exploitation une vaccination contre l’IBR des bovins introduits.

A partir du 1er janvier 2022, les bovins introduits devront faire l’objet d’un contrôle sérologique réalisé dans les 15 à 30 jours après introduction.

ARRETE MINISTERIEL du 5 novembre 2021

L’arrêté ministériel du 05/11/2021 prévoit 2 obligations d’application immédiate :

1) Les bovins « infectés d’IBR » peuvent être introduits dans un troupeau d’engraissement dérogataire en bâtiment dédié (ASDA jaunes) à condition d’avoir fait l’objet d’une vaccination réalisée et certifiée par le vétérinaire sanitaire et d’être transportés à destination par transport sécurisé.

2) Pour introduire des bovins dans un troupeau d’engraissement dérogataire en bâtiment dédié (ASDA jaunes) lorsque le troupeau d’engraissement dérogataire est sur le même site qu’un troupeau d’élevage (ASDA vertes), les bovins doivent répondre à l’une des deux conditions suivantes : 

  • Les bovins sont issus d’un troupeau disposant de la qualification indemne d’IBR
  • Les bovins introduits sont vaccinés par le vétérinaire sanitaire lors de leur introduction

ARRETE MINISTERIEL du 5 novembre 2021

L’arrêté ministériel du 05/11/2021 impose sur la campagne 2021-2022 que dans les troupeaux « en cours d’assainissement », lorsque le pourcentage de bovins « infectés d’IBR » et vaccinés, et âgés de 12 mois et plus est inférieur ou égal à 10, ou lorsqu’un seul bovin « infecté d’IBR » y est détenu, alors tous les bovins « infectés d’IBR » vaccinés doivent être envoyés dans un délai de neuf mois maximum (en pratique avant le 15 septembre 2022) soit vers un abattoir soit vers un troupeau d’engraissement dérogataire en bâtiment dédié (ASDA jaunes). 

ARRETE MINISTERIEL du 5 novembre 2021

Application au 1er janvier 2022

Ne peuvent être introduits dans un troupeau « indemne » ou « en cours de qualification indemne » que des animaux issus de troupeaux « indemnes »

Le non respect de cette règle impose à l’acheteur de réaliser en sérologie individuelle, en plus du 1er contrôle effectué 15 à 30 jours après l’introduction du bovin, un 2ème contrôle réalisé 15 à 30 jours après le premier.

La nouvelle ASDA (carte verte) ne pourra être délivrée qu’après réception du résultat favorable de cette deuxième analyse.

La période de mi-mai à fin octobre est considérée comme une période à risque vis-à-vis des infestations cutanées par Wohlfahrtia magnifica.

Quand suspecter cette myiase ? Que faire en cas de suspicion ?

Vous trouverez ici une fiche réalisée dans le cadre de la commission ovine de GDS France pour répondre à ces questions.

En 2019 et 2020, sur les Massifs du Cantal et du Sancy, de nombreux cas d’entérotoxémie et de charbon symptomatique ont été observés. Les bactéries responsables de ces deux maladies sont Clostridium perfringens, et Clostridium chauvoei.

Dans les deux cas, les animaux atteints sont rarement observés malades et sont plus souvent retrouvés morts. Les rares animaux qui peuvent être soignés à temps ont couramment des séquelles, respiratoires ou locomotrices, qui en font des non-valeurs économiques.

Dans ce contexte, il vous est fortement recommandé :

  • De vacciner contre ces maladies les bovins qui montent en estive, en particulier les plus jeunes, réputés les plus vulnérables. Le vaccin doit être administré 2 fois à 3 semaines d’intervalle, pour une protection optimale pendant 1 an. Une seule injection protègera l’animal pendant 1 à 3 mois, avec un niveau de protection qui n’est pas garanti comme maximal.
  • De repérer et de faire partir les cadavres le plus rapidement possible: ceux-ci sont sources de spores qui contaminent les parcelles, et les points d’eau. Il convient donc de les isoler du reste du troupeau (barrières), de les couvrir (bâche ou paille) et de les faire enlever par l’équarrissage le plus rapidement possible.

Vous trouverez ici une nouvelle version (datée du 09/07/2021) de la note concernant les exigences en matière de FCO pour les mouvements intra-européens depuis le 21/04/2021.

Vous trouverez ici la version du 12/04/2021

Vous trouverez ici la version du 31/03/2021.

VERS L'ESPAGNE
2 phases
1/ du 21 avril 2021 au 31 août 2021 maintien des conditions actuelles. Les espagnols sont conscients des difficultés à mettre en place cette vaccination 4 et 8 d’ici au 21 avril et nous accordent un délai :

• Bovins, ovins de moins de 70 jours
animaux issus de mères vaccinées OU animaux désinsectisés pendant 14 jours suivi d'un test PCR négatif


• Bovins, ovins de plus de 70 jours
animaux désinsectisés pendant 14 jours suivi d'un test PCR négatif OU animaux vaccinés BTV 8 et 4 depuis plus de 10 jours après la deuxième injection.


2/ A partir du 1er septembre 2021 nouveau protocole qui impose la vaccination 4 et 8 pour les adultes


• Bovins, ovins de moins de 70 jours
animaux issus de mères vaccinées OU animaux désinsectisés pendant 14 jours suivi d'un test PCR négatif


• Bovins, ovins de plus de 70 jours
animaux vaccinés BTV 8 et 4 depuis plus de 10 jours après la deuxième injection.


VERS l'ITALIE
L'Italie ne modifie pas ses conditions par rapport au protocole bilatéral actuel ( sauf le délai post vaccinal qui passe à 7 jours au lieu de 10)


• Bovins, ovins de moins de 90 jours
animaux issus de mères vaccinées OU animaux désinsectisés pendant 14 jours suivi d'un test PCR négatif


• Bovins, ovins de plus de 90 jours
animaux vaccinés BTV 8 depuis 7 jours après la deuxième injection.

 

REMARQUE: les conditions générales s'appliquent également; des ruminants vaccinés (8 et 4) depuis plus de 60 jours peuvent aller en Espagne et en Italie.


Le 5 mars nous recommandions d'adopter collectivement une stratégie vaccinale adaptée au contexte de chaque pays (ITALIE BTV 8 -ESPAGNE BTV4-8) d'une part et analysée au regard des disponibilités en vaccin d'autre part. Cette recommandation reste d'actualité dans un contexte de tension sur les disponibilités du vaccin bivalent et d'obligation vaccinale pour l'Espagne reportée au 1 septembre.

 

Claire LE BIGOT

DGAL

Nous rappelons qu’il est impératif d’inscrire la date du prélèvement de l’échantillon de cartilage sur l’enveloppe fournie, ainsi que les dates de congélation et de décongélation si l’échantillon a été congelé (pratique déconseillée actuellement).

En effet, l’analyse PCR BVD généralement mise en œuvre doit être réalisée dans les 15 jours suivant le prélèvement. Son coût est de 3,20 € HT auquel est déduit 1€ d’aide pour les adhérents GDS.

Depuis le mois de juin dernier, en l’absence de date de prélèvement (ou éventuellement de dates de congélation et de décongélation) et en cas de délai d’acheminement compris entre 15 et 30 jours après le prélèvement, le laboratoire TERANA pratique un autre type d’analyse appelé antigénémie BVD. Cette analyse « de rattrapage » limite le nombre de veaux à reprélever.

Le coût de cette analyse est par contre beaucoup plus élevé : 8,50 € HT auquel est déduit 1€ d’aide pour les adhérents GDS.

Le GDS a pris en charge de juin à septembre le surcoût de cette analyse.

A partir du 1er octobre 2020, le coût de l’antigénémie de 7,50 € (aide GDS déduite) sera entièrement à la charge de l’éleveur.

Pour que les analyses soient faites en PCR au tarif de 2,20 € et ne pas basculer sur une analyse en antigénémie à 7,50 € il faut impérativement :

  • NOTER LA DATE DE PRELEVEMENT (et éventuellement de congélation/décongélation) SUR L’ENVELOPPE.
  • Poster immédiatement l’échantillon une fois le cartilage prélevé (si vous bouclez le week-end, postez l’échantillon le lundi pour une meilleure conservation).

Protéger les gestations pour éviter la création d'IPI et arrêter la circulation virale au sein du cheptel.

« D'un point de vue sanitaire, l’introduction d’animaux revient à mélanger les microbismes des élevages acheteurs et vendeurs.
Les animaux achetés, s’ils sont malades ou porteurs inapparents d’une maladie absente de l’élevage acheteur, peuvent Ia transmettre à l’ensemble du troupeau.
A l'inverse, les animaux introduits peuvent ne pas avoir développé d’immunité contre des germes présents sur l’exploitation d’accueil. Ceci, combiné au stress de l’introduction, favorise l’expression des maladies aux conséquences parfois graves.
La connaissance des statuts sanitaires des élevages acheteurs et vendeurs sur 4 maladies majeures : CAEV/visna maëdi, fièvre Q, chlamydiose, paratuberculose, à partir de recherches sérologiques, permet d’analyser leur compatibilité.
L’objectif de cette démarche volontaire est de ne pas introduire de nouvelles maladies et de prévenir le risque d’expression de maladies présentes dans l’élevage acheteur sur les animaux introduits.
Aides GDS sur les tarifs préférentiels de TERANA 63 : 100 % la 1ère année – 50 % les années suivantes. 

Cette démarche conseillée par les GDS a pour objectif de minimiser les risques sanitaires lors d'achats de lots d'animaux, de création, d'agrandissement ou de rassemblement de troupeaux. Elle permet de raisonner ses choix ou les mesures à mettre en place (vaccination...) en vérifiant la compatibilité sanitaire des lots, par recherche sérologique de certaines pathologies majeures.

 

Le GDS INFOS est désormais consultable en ligne.

Pour le consulter veuillez cliquer ici.

Pour plus d'informations, vous pouvez consultez la plaquette d'information BVD

en cliquant ici.  

L’arrêté ministériel du 31/07/2019 décrit la mise en place d’un programme de surveillance et de lutte contre la maladie des muqueuses (BVD).

Cet arrêté consiste à mettre en place la première étape du programme national d’éradication de la BVD rendant obligatoire la recherche des animaux infectés dans tous les troupeaux de bovins.

La surveillance sur l’ensemble des troupeaux s’effectue par une recherche de virus sur tous les animaux à la naissance lors d’un prélèvement réalisé en même temps que les opérations règlementaires d’identification grâce à un dispositif de prélèvement sur cartilage. La notice de pose et la vidéo du fabriquant sont disponibles sur le site internet du GDS.

L'arrêté ministériel est consultable en cliquant ici.

Depuis la parution de l’Arrêté Ministériel du 31/07/2019, la commande de boucles préleveuses est désormais obligatoire. La nouvelle campagne de commande des boucles d’identification a démarré début juin, et laissait (l’arrêté n’étant pas sorti) le choix de commander soit des boucles conventionnelles, soit des boucles préleveuses.

Différentes situations existent, dont certaines nécessitent de se mettre en phase avec la réglementation :

  1. L’éleveur a commandé depuis juin des boucles préleveuses. Pas de problème.
  2. L’éleveur a commandé des boucles conventionnelles depuis juin. Il doit commander les boucles boutons correspondantes dont le prix coûtant unitaire avec enveloppe préaffranchie pour envoyer l’échantillon au laboratoire TERANA est de 2,33 € HT.
  3. L’éleveur n’a pas encore réalisé sa nouvelle commande. Il est dans l’obligation de commander des boucles préleveuses (le bon de commande EDE a été modifié en conséquence).

Cet article diffusé dans la presse agricole par le GDS63 le 23 août 2019 reprécise le contexte et les objectifs du programe national d'éradication de la BVD.

Il précise également les modalités de prélèvements, les analyses, les plans d'assainissement dans les élevages infectés et les modalités financières du programme sur le département du Puy-de-Dôme.

Pour consulter cet article, vous pouvez cliquer ici.

Protocole national OSCAR

Aides aux analyses pour les adhérents GDS à 80 % depuis le 01/07/2019 pour 7 maladies.

Contactez votre vétérinaire ou le GDS pour plus de renseignements

Le GDS63 vient de mettre en ligne un WEB service  pour consulter le statut BVD d'un bovin et imprimer l'attestation BVD bovin non IPI correspondante. Cette consultation est possible sur 10 départements de la région Auvergne Rhône-Alpes pour tout bovin ayant séjourné sur un des départements concernés (01 – 07 - 26 - 38 – 42 -  43 - 63 – 73 -  74  et 69).

Pour consulter le statut d'un Bovin, il vous suffit de cliquer sur le bouton bleu à droite de votre écran sur la page d'accueil du site gds63.com. BoutonBVD2

Deux nouveaux outils sont mis à disposition des éleveurs adhérents dès 2019 : WEBGDS et CLASSDOC

WebGDS est un portail internet sur lequel les adhérents GDS peuvent gratuitement consulter leurs résultats d'analyses, leurs vaccinations IBR, leurs statuts sanitaires, les enregistrements GDS et demander le bilan sanitaire d'élevage.

ClassDoc est un outil permettant de remplacer les documents « papier » transmis par courrier par les différents organismes agricoles par des fichiers informatiques échangés sous forme dématérialisée.

Pour accéder à ces outils, cliquez sur l'image WEBGDS CLASSDOC à droite de votre écran, Rentrez votre identifiant et votre mot de passe reçu par mail, sélectionnez l'application souhaitée et naviguez sur celle-ci. 

Pour plus d'information, veuillez consulter le lien en cliquant ici.

En cas de besoin, vous pouvez également consulter la documentation de l'utilisateur WebGDS en cliquant ici.

 

Classdov webgds horizontal

ASDAICA2018 recto ASDAICA2018 verso

A partir du 1er septembre 2018, les attestations sanitaires (ASDA) changeront suite à la modification de l'information de la chaine alimentaire (ICA).

Ce changement n'entraine pas l'échange de la totalité des cartes vertes en possession des éleveurs mais nécessite de remplir éventuellement un document spécifique lors de sortie d'un animal du cheptel. Pour en savoir plus, veuillez cliquer ici.

L'Arrêté Ministériel du 31 mai 2016 a conduit en 2 campagnes de prophylaxies au passage de :

  • 30 à 84,5 % de cheptels indemnes en IBR auxquels on peut rajouter 5% de cheptels en cours de qualification
  • 10,6 à 4 % de cheptels avec au moins un bovin positif

Les chiffres de la dernière campagne sont consultables en cliquant sur ce lien

L’introduction d’un animal représente un risque majeur de contamination de votre cheptel par de nouvelles maladies. Le GDS et le laboratoire d’analyses TERANA 63 vous proposent à partir d'octobre 2017 un kit introduction à tarif préférentiel permettant la recherche de 5 maladies : IBR, BVD, Paratuberculose, Besnoitiose et Néosporose.

Pour en savoir plus, veuillez cliquer ici.

Nouveau : Un plan de maîtrise est proposé par votre GDS

Vous pouvez consulter le lien en cliquant ici.

 

C'est courant 2016 que les élus du Conseil d'administration du GDS63 ont pris l'orientation d'investir dans un couloir de contention pour les bovins.

Cette acquisition avait un double objectif :

  • Tout d'abord de sécuriser les interventions de prophylaxies dans les élevages où les moyens de contention ne sont pas appropriés,
  • En second lieu, pour améliorer l'approche des animaux et la sécurité des personnes (éleveurs, salariés, vétérinaires...) qui sont concernées par ces opérations.

Cet équipement a bénéficié d'une subvention de la MSA dans le cadre de l'amélioration des conditions de travail.

Couloircontention1

 

 

Créés dans les années 50, les Groupements de Défense Sanitaire (GDS) sont des associations départementales dirigées par un conseil d'administration composé en majorité d'éleveurs. Pour mener à bien leurs missions, ils disposent d'un personnel administratif, de techniciens et de vétérinaires et s'appuient sur un maillage serré d'éleveurs délégués locaux. Ils sont agréés par le Ministère de l'Agriculture et bénéficient également du soutien de collectivités territoriales.